• Littérature et argent font-ils bon ménage ?L’interview de Jonathan Franzen dans le magazine américain Scratch relance le débat sur le rapport de l’écrivain à l’argent. Il apporte un nouvel éclairage à une décadence culturelle annoncée.

    Littérature et argent font-ils bon ménage ?

    La littérature ne nourrit pas son homme

    Littérature et argent font-ils bon ménage ?L’auteur livre son analyse sur l’évolution du monde de l’édition. Celle-ci est favorable à moins de jeunes auteurs, mais en revanche, paie beaucoup plus. L’éditeur semble plus enclin à produire un nom connu qu’une œuvre sensée. En France, Marc Lévy aurait ainsi engrangé 80,6millions d’euros en 2008.                                   

    Pour Franzen, le vrai romancier n’écrit pas pour l’argent et de fait, n’en gagne pas par ce biais. Il peut vivre en ayant une autre activité assez libre, mais connaîtra malgré tout « une pauvreté inhérente à l’humanité ». Selon lui, il y a peu de livres sérieux en haut des ventes. Le vrai romancier ne donne d’importance à l’argent que comme signe de célébrité et de reconnaissance. L’écrivain sérieux évite dès lors les clichés et les stéréotypes dans ses œuvres, quitte à ne pas « faire de l’argent ». Il est à noter que l’on remarque la même chose dans le domaine de la musique, où la variété rapporte plus qu’un opus.

    Critiques des temps modernes

    Franzen est connu pour ses vives critiques sur les temps modernes et notamment sur la liberté individuelle et le libre-échange économique. Il vient, d’ailleurs, par conviction, de publier une traduction annotée de Karl Kraus, le « Kraus Project ». Ce satiriste autrichien semble bien avoir prévu la décadence culturelle pour cause de société de consommation. ;Aurait-il raison ? Il est en effet surprenant que les grands Occidentaux soient prisés en Chine. Leurs œuvres sont traduites en chinois et se vendent par centaines de milliers. Dans le même temps, ce sont les romans médiocres qui se vendent dans les pays de la démocratie.

     

     


  • L’adolescence est un passage obligatoire se situant entre l’enfance et l’âge adulte. Elle est pratiquement définie comme le moment où l’individu est reconnu adulte par la société dans laquelle il évolue. Elle débute en général avec la puberté et comporte des modifications morphologiques, physiologiques et psychiques. Elle se manifeste à l’âge de 9 à 17 ans, selon le sexe, le génome, le climat ou encore la région.

    C’est à cette période qu’apparaît la crise d’adolescence, un trouble qui se caractérise par une recherche d’autonomie, de libération à l’emprise familiale, et qui est généralement source de conflits.

    Ce que les parents doivent savoir

    La crise de l’adolescence n’est pas une maladie, il n’y a donc pas de remèdes précis à prescrire. Les manifestations sont différentes pour chaque ado, il faut néanmoins adopter les bons réflexes. Il est tout à fait normal que des désaccords s’établissent entre parents et enfants, toutefois, soyez attentifs et calmes. Il se peut qu’il s’oppose à vous et à voir jusqu’où vous pouvez aller, dans ce cas, il faut lui rappeler les limites. Dans tous les cas, analyser attentivement les situations sans dramatiser.

    Quelles sont les solutions ?

    L’entourage peut lui infliger de mauvaises influences, n’hésitez pas à lui faire part de vos inquiétudes. Pour le cas des drogues, alcools et le port de vêtements provocants, informez-le petit à petit des effets néfastes de ces produits et ces pratiques. Faites bien attention, car les méthodes trop sévères peuvent les conduire à dépasser les limites.

    Dans tous les cas, le dialogue est une solution très conseillée. Vous pouvez aussi demander l’aide de spécialistes, en cas d’anxiété, tristesse excessive ou de comportements agressifs exagérés. Parfois il y a des conduites que vous jugez inadmissibles, par exemple le fait que l’ado veuille se coucher chez son ami de cœur ou l’inverse, il faut mettre un terme à l’idée. La confiance peut être mise en cause, mais elle se rétablira au mieux plus tard.

    Pour bien gérer la crise d’adolescence, quelques règles sont à retenir. Il ne faut pas s’inquiéter au moindre conflit, privilégier le dialogue, définir ses limites à l’enfant et surtout n’hésitez pas à demander de l’aide. 


  • Grâce à une étude d’un analyste de Nomura, Microsoft reçoit chaque année un revenu de 2 milliards de dollars. Une somme perçue au moyen des accords de licence octroyés aux fabricants de terminaux Android. Une rente qui permet à la division Entertainment & Devices d’avoir des résultats positifs même en étant en situation déficitaire.

    Si elle ne gagne pas d’argent avec Windows Phone, la multinationale américaine se rattrape avec Android. Google, l’auteur du système d’exploitation et Microsoft ont donc un intérêt commun. C’est presque incroyable en raison de la concurrence entre les deux OS. D’ailleurs, Google ne s’investit pas dans ce concept. Cette organisation laisse les frais aux fabricants de Smartphones pour l’utilisation de certains brevets. En effet, depuis quelques années Microsoft multiplie les accords de licence avec de grands fabricants de Smartphone Android. Ces derniers payent donc des royalties pour avoir le droit d’utiliser certaines technologies du grand constructeur informatique.

    Depuis le lancement du programme de propriété intellectuelle de Microsoft lancé en 2003, plus de 1100 accords ont été signés avec de grandes marques comme Samsung, ZTE, HTC, Acer, Nikon ou encore Hon Hai (foxconn). Un énorme avantage pour la firme qui reçoit une somme de 2 milliards de dollars par an, avec une marge de 95 %. Selon les dires de l’analyste en question, Microsoft trouve un intérêt majeur au succès d’Android. Effectivement, un tel montant permet à l’entreprise de Redmond de masquer ses pertes importantes de la division Entertainment & Devices. Cette dernière est la principale concernée dans la Windows Phone et la Xbox. 

    Plus particulièrement, ce serait la Xbox qui engendrerait le plus de pertes avec 80 %. Sans les revenus provenant des royalties, Microsoft perdrait chaque année 2,5 milliards de dollars. Pour certains observateurs, la firme américaine devrait partager cette division pour faire de la branche Xbox une unité indépendante afin que l’organisation se recentre sur son principal cœur de métier.


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  • Un service gratuit en ligne n’est pas toujours fiable

    Internet est  vivement apprécié par la richesse des informations que l’on peut y retrouver. Quelle que soit la tranche d’âge des internautes, chacun y trouve son compte puisque les services sont rapides et gratuits pour de nombreux sites. Il existe des sites gratuits consacrés aux informations, mais la toile regorge aussi de sites dits illégaux dont la particularité est de permettre aux visiteurs de télécharger certaines informations en contournant les règlementations légales de droit d’auteur par exemple. Parmi ces informations,  celles les plus téléchargées sont la musique, les films ou les jeux et dans la majorité des cas il s’agit de nouveautés. Cependant, puisque l’on parle d’un procédé pirate, la qualité des informations téléchargeables est parfois insatisfaisante et le sujet recherché n’est pas forcément disponible. Néanmoins, ceci est considéré comme un détail mineur et cela n’empêche pas les gens d’user des services gratuits d’internet. D’après les sondages, les personnes priorisent les services d’internet avant de se tourner vers d’autres perspectives pour faire leur recherche.

    Pourquoi il faut payer pour un contenu viable ?

    Bien que la majorité des services proposés par le web soit gratuit, il existe bel et bien des sites payants offrant des informations de qualité. Les procédés de ces sites sont bien souvent légaux et les informations sont largement plus fiables, voire fiables à 100%. Par ailleurs, les membres de ses sites bénéficient souvent de quelques avantages. Néanmoins, ceux qui acceptent de payer pour les services du net sont minimes et pourtant de nouvelles pratiques pour contrebalancer les services gratuits menacent le web. Ces derniers temps, le web est inondé de publicités qui apparaissent à chaque fois que l’on veut accéder à une page web. Ainsi, avant de pouvoir consulter les informations, on doit regarder les dites publicités et elles peuvent apparaître plusieurs fois au cours de la visite du site. Face à cette réalité, les internautes militent pour réveiller la conscience des habitués du «tout-gratuit» Ils proposent de favoriser les sites payants car aucun service n’est gratuit. D’ailleurs, pour leur bon fonctionnement, tous les sites ont des employés ce qui démontre clairement qu’internet n’est pas vraiment un service gratuit. En payant, on peut éviter par exemple les publicités interminables.


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  • Qui n’a pas été tenté de se précipiter vers le fast-food le plus proche pour assouvir sa faim une ou plusieurs fois par semaine ?

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